M’demande pas d’faire un choix,
st’euplait, je sais qu’on’s plais,
qu’on sblesse les yeux a force de s’zieuter
qu’on baise, bon même si c’est pas ça qui fait qu’on s’tienne en publique par la main, donc bref,
chuis pas fort pour prendre une direction vla l’machin,
c’est pour ça que tu m’kiffe j’parle vla bien, mais j’ai pas d’experience dans la vie, si on fsait c’que j’dit on strainerais,
chez moi c’est comme une maladie, quand tu m’demande est on un couple ou sexfriend, j’parle latin.
Cqu’on sais c’est qu’on s’aime,
Pourquoi pas tenter chaque matin, de s’lever côte a côte, comme des ondés qu’on déclencherait à chaque bassin, on sfera jamais d’mal non.
On aime juste croire a s’shema pas malsain qu’notre derniere nuit sra ensemble et que l’fond l’air sentira l’sapin.
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M’demande pas d’faire un choix,
Choisir entre pizza et burger srait mega épatant.
J’ai jamais d’preference, 2 ans ce passe et tu me connais déjà tant,
on mange ce que tu veux ce soir tant pis pour l’prix , joublie, l’sushi chuis partant.
Je s’rais jamais la personne qui remettra en question tes attentes,
t’en as assez chier ça en est effarant, trop entendu cette meuf n’a aucun don, n’est pas epatante, aucune appétence
vraiment jcrois j’ai pas tant d’chance de m’épprendre. J’aime juste les décisions qu’tu prend, même mieux qu’ça jles attends, non ça n’mest pas alienant,
j’ai pas d’probleme mentallement quand je dis que je n’ai pas d’probleme a defendre tout tes amen genre
comme sils se gravaient dans ma chair, mon coeur et ma tempe
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M’demande pas d’faire un choix,
On va tourner sur le même jeux vidéos c’est d’ja tout choisis, chaque soir comme boucler sur des termes creux,
no ideaux c’est faire ça pour la vie,
j’comprend pas ce qui spasse, la routine tasse et casse mes je t’aime, quand j’te dit que tu es belle sd’eclenche chez toi une moue tarie jveux plus ken, j’me renferme dans la fumé car j’ai l’mood partis et notre couple doux amer, deviens doucement full moisie, tu mdit qu’mes gout importe peu, sa t’blesse que j’te trouve toute jolie car je trouve tout jolie
J’essaye de t’rassurer, de ton chevet j’promet qu’j’voudrais jamais partir, j’me trouve de nouvelle occupation, j’fais dla dépreciation, quelques excuses pour pas faire d’thérapie, nos journée sont plus aussi bien, et très rapide, ça s'appelle dissociation, comme si j’voulais pas être là mais qu’il fallait remettre ça sinon j’fais pas d’effort pour m'épanouir
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M’demande pas d’faire un choix,
j’me souviens du moment ou j’ai pris décision,
entr toi et mes amis et qu’jai fais l'éviction
des personne qui m’aimaient, vivant ma reddition,
comme infidélité, ainsi débilité, un fanzouze défendant l'émission
L’horreur douce comme si notre couple cachait d’autre doute dans un manteau de vison. j’commence a developper quelques hallucination a force d’look les fantôme d’mes visions
Chuis amorphe et l’cerveau fait l’chaos m’fait l'effet d’une amorce dans un lac d’esturgeon
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M’demande pas d’faire un choix
J’ai rencontré vla les cool queer sur internet, j’decouvre les non-genré mais ta jalousie l’interprete comme un sombre danger. Et un soir sans gène tu m’dit de n’pas changer. me feminiser t’allais dans un rapport maître-sub, mais qu’pour vraiment m’aimer t’avais besoin d’cette teub, je crois qu j’tecoeur, et j’ose me dire que c’est sûrement l’contrecoup, j’ai pas l’air sûre du coup t’as juste ptere peur ?
malgrès mon amour comme opium, mon corps commence à tituber,
J’me suis vite tu c’est l’effet d’un ultimatum
ton obsession sur ma cock me saoulait, mais c’est la com qu’j’ai coupé, oui c’est la com qu’jai coupé, quand ta insinué qu’le wokisme mutile ton homme
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Me demande pas d’faire un choix
Ca fait longtemps qu’on ne s’est pas etreint, moi j’voulais juste être ta femme
Tu m’as dit tant qu’on baise pas serein c’est normal que ça rame
ma dysphorie me joue des tour, pense pas que ces tes kilogramme,
Tu me dit tu viens ? laisse a la porte un jour, si j’repond “non” ce sera l’drame
et je veux plus d’vacarme et je veux un soir calme.
mes pensée s’mettent en mode boucler, une sorte de micro-teaser’,
Je te touche sans vraiment t’toucher, c’est du sex d’hydroglisseur,
Chuis plus active dans nos ébat comme un débat qui vrille l’auditeurs
desolé de n’pas tout l’temps bouger, j’dissocie pas chuis troublé
Pourquoi j’aimerais pas ça ? j’croyais être un People pleaser
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impulsion inoffensives, Iel estime qu’une douche saura la rendre détendu
Son dénis combat l’attraction à être vite trop pensive, Endormis sur les red flag comme le soir des menstru.
Iel avance vers la salle de bain, et ça pale main ferme la porte dans un click ostensible
Iel croit à ce moment être soit même, qu’iel contrôle zen, et se trouve si authentique
Alors pourquoi les doigts sur la poignée attendirent quelques secondes, pour quoi son visage attendris pele mele s’effondre, pourquoi si calme a l’aller iel se crispe, se demande si ça va et ne peux même plus s’repondre, pourquoi c’re-tour de clef dans la serrure, sonne, lui, comme un murmures, avec la lenteur que suppute le chir s’apretant a faire la somme des suture.
cette main est ce toi qui l’a bougé, étonnant? tu verifie dans 3m² si t’es bien seule ne trouve pas tu ça deconnant ? Est ceque quand tu ferme les yeux tu te voie a la troisieme personne ? tente
si’t’entends dans l’interphone blanc, la voix désolante, susurrer des non s’il te plait et autant
Iel a peur d’un coup, iel c’est moi et pourtant, Je me fais dans le miroir un regard que je ne reconnais pas, sur une face que je ne reconnais pas dans un corps que je ne reconnais pas
on dit self harm non on parle d’auto degat, certain sdecoupe comme un jambon de parme, mais j’merite pas cette ode au depart
Adolescente je m’ouvrais, mais depuis m’ouvrir est un verbe que je prose dans mes slam
Cependant quelque soir pas souvent, aussi rare que deroutant, iel m’attaque au visage, car iel est a bout portant. Le poing fermé dans une tetanie ridicule iel s’tabasse la machoire la pommette, le cou et la clavicule, les gens pense qu’iel est fou, moi je pense que j’simule
Alors qu’il n’y aura aucun temoin, aucun trou, un match au poing si nuls
les mains matte cet epiderme, en s mattant dans ses cerne. Elle se petrie se malaxe vénère, sauf qul’a la pate est tuméfié et tern, les yeux humide et salé, un "arrête" étouffé je soupire
ça ne pourra être eternel, iel va se fatigué, essaye de mettre un terme, belle, est ta joue atrophié, qui va te lancer pendant 1 semaine ptetre
Puis iel s'est stoppé en age, on a pris notre douche ensemble je sens les gouttes sur mon visage, habituel comme un adage, iel sait que je l’aime chaude et dissociée, iel m’aime sage et associé avec ce corps que l’on partage. Dit moi qu’t’es la, que c’est pas moi en train d’esquiver la réalité que j’me tape sale, je t’entend dans mon dos chantonner ma berceuse préféré pendant que nos mains m’font des massage.
Je t’en veux pas on va s’comprendre, j’aurais pas du ignorer ta rage. J’aimerais juste pouvoir t’parler au lieux qu’on s’passe la clef de la cage.
j’ai mal aux joue, et j’attendrais l’jour impossible ou je t’aurais en face de moi, histoire de tourner la page.
impulsion inoffensives, Iel estime qu’une douche L'aura rendu détendu
Son dénis combat l’attraction à être vite trop pensive, Endormis sur les red flag comme le soir des menstru
Iel avance dans la salle de bain, et ça pale main ouvre la porte dans un clack ostensible
Iel croit à ce moment être tranquille, qu’iel contrôle chill, ielle fait si authentique
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Le contexte est une entrée d’immeuble où j'habitais, revenant d’la boulangerie, absorbée par mes rêveries pourtant je vis, une missive placardée qui retenu mon attention
Me stoppa dans mon ascension, m'empêcha de la franchir, par ses vertus qui m'attendrirent tant j’aimerais lire l'information.
On m’apprend juste que les souris ont investi local poubelle, loquace pour vrai
Et comme seule forme d’action je devais ratifier de mon nom la dite feuille, acceptant par la présente a la vas vite deuil de leurs installation,
en un mot: dératisation.
Lettre ouverte a la copropriété
Alors vous dite que la vermine ne vous inspire que la degoute
Qu’elle mérite sa vie de rat, de tique, de mouche sans trop de doutes
les rongeurs d’cage d’escalier moi humblement je les ecoutes
Voisins d’pallier, chuis leurs alliées, et missionné de votre déroute
J’aime la vermine, cette incomprise, et j’le dit d’ma voie la plus suave
Des souris dans mon grenier jusqu’aux champignons dans la cave,
Ce que vous prenez pour nuisance, jl’ui trouve dl’avenir comme un medium
Chuis non binaire qui manque pas d’air venus vanter le Mycelium
Pourriture, nuisibles, parasite, pourquoi en parler pour le mal
Leur mode de vie est esthetique, j’en sème dans mon champs lexical
Ne respectez vous pas les ames, qui survivent dans vos propres poubelles
Qui ont leurs nombre comme seule arme, qui n’sont qu’une ombre pour le quidam, qui purulle dans chaques ruelles
La vermine…
Elle sbouffe au milieur des dechets Elle baise dans ses espoirs dechus
Et quand quiquonque des siens décèdent La rage la faim prend le dessus
Elle s’attaqueras au fondation, phagocite les infrastructure
Moissisure jusqu’au plafond, Infecte juste les pietres suture
La vermine vie, la vermine grouille, malade et folle, elle s’invite au banquet des privilégié
Les champignons dans une assiette, le fruit pourrit alcoolisé
Je terminerais sur son hommage j’lui passerais la pommade déter
Si la vermine file sur le fromage c’est que la société dessert
Alors vous dites que la vermine ne vous inspire que trop de peur
que l’on merite sa vie de rat, et non l’elite ses haut le coeurs
Je n’puis signer cette petition je n’vote pas exterminateur
et l’quignon d’pain dans l’escalier voyez ça comme leurs doigt d’honneur
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Marguerite Stern est ancienne feministe qui se demarque ses dernier temps en faisant des colonne de journaux politiquement désagréable, et va voir nos désagréable politiques pour alerter sur le danger de donner des drois aux femme trans, aux travailleuses du sexe, ou au personne portant le voile. le 22 janvier 2020 elle ecrit
Je cite
"j'ai la liberté de me voiler", "je choisis de me prostituer", "je suis trans, soit tolérante", cela ne veut rien dire. Oui tu peux dire que tu es libre de te voiler, de te prostituer ou d'être trans, mais la question du libre choix est illusoire. Je considère que ces choix sont le fruit d'un conditionnement par le système patriarcal.”
Fin de citation
j’ai pas choisis
Quand J’lis tribune, de Marguerite, Envie d’cigue et d’arsenic
La transphobie des un s’est sure, à d’autre créé des tas de fric
Découvre les queer le mercredi, lèches botte de cuir tout les jeudi ,
Sa vie c’est, j’ai virée insecure et j’atterie chez l’ennemie.
j’capte pas l’envie d’yeet vla du leste, métaphore crée l’images funeste
quand nos suicide la porte au d’ssus du plafond des smicard du reste
Ce faux duel lui rapporte
Dons mensuels sont daccord
Lesbienne terorisée par mon corps, lui apporte dividende et reconfort
ça m’bute pas qu’elle puisse bouffé, juste pas qu’elle puisse trouvé
un autre moyen qu’essentialiser la femme a une entre-cuisse troué
Ses mécènes la dise très doué, a la cause des “vrais” femmes vouée
mais dans ses fan précaires je vois des gay perdu.es au milieu d’batard enjoué
j’ai pas choisie, Marguerite
Chuis cet.te ennemies très facile, et bien qu’met droits soit, cher fragile,
J’garde aussi quelque droite agile, pour ta rhétorique faite d’argile
Tu fais d’marianne un droit d’asile, J’découvre mon genre comme frais artiste
Et l’effet de ton denis naif satyre le feminisme radic.
j’ai des potes putes marguerite, qui ont trop truc a te dire
quant tu troc stupide valeurs contre puretée d’apatride politique
pendant qu’les voilé stape le pire de ton discours d’femme martyre
les gouine te porte plus, s’amenuise, on compris l’horcruxe et l’autrice
Car quand tu charme des ordure qui nous nuise, toi tu vois or pur et avenir.
Si longtemps contre le mariage forcée et tomber ainsi dans le racisme
Ironie, preparant le tiens sans forcer avec l’ideologie nazi , l’hegemonie
te pat pat sur la tête, pendant qu’elle fracasse mes adelphes
qui voit par agraphes que tu laisse cicatricer le foie d’la bête
Tes papier qui prouvent cette union me sont assez abrasifs
ma relation avec les fach j’peux dire que moi j’l’ai pas choisis
Pour nous
y’avait pas d’croix, d’cérémonie, mais
des conversion par thérapie des
contusions dans les manif, les
institutions psychiatriques,
l’obsession perverse sur ma bite
alegation d’etre pedophile
remise en question du planning
menace, pression d’ma propre famille, bref
refutation d’etre qui je suis
Alors ta fusion eratique, ta confusion femelliste, m’afflige marguerite autant qu’elle me fou pas la trique
ma transition pour tout dire est l’fruit décision qui m’inspire mais
Encore une fois j’texplique, ce que j’ai pas choisis Marguerite
c’est qu’pour le meilleurs je reste le pire pour les fascistes et pour ta clique
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j’perd pas -d’temps d’étayer l’heure tourne,
La vérité c’est que
J’m’en branle si ma sexualité ou ma transition veulent dire que chuis pas vraiment stable
J’men tape que ça viendrait de ma mère qui m’aurait élevée de manière trop ou pas asser sentimentale
J’m’en fou si c’est aussi mon autisme qui occis l’autre synapse et la fait osciller entre ni homme ni femme,
j’men balance d’être ptete pd car j’ai vecus des viols, du harcelement à l’ecole, car j’ai un corps de laches
car ado je me suis mis un doigt dans l’cul et qu’jai kiffé ma race
J’men contreplaque, que ce soit dans mon adn, qu’on puisse le soigner comme un mauvais film de xmen,
qu’un glitch dans mon anatomie fasse de moi qu’une anomalie,
que c’est a cause de ma consommation de porno pas trop vanille
J’men care si c’est l’absence du geniteur, si c’est passager car je ne serais pas conducteur,
que chuis juste du-per viteuf,
ou ptet même dupé par un complot de
seigneur du mal
qui m’aurait tendu la pomme en me disant est tu sure d’etre
femelle ou male
J’men calice que ce soit qu’une sociale construction, une politiqual conscription,
ou une ex m’aillant coupé les partie génitales lors de jeu bizarre ou je portait des bas nylon style contention.
J’m’en poutre, Qu’ce soit une epidemie d’homophilie,
et qu’vos enfants la chopperont aussi,
que le monde sera bientot recouvert de genre helicoptere apache
que les chirurgie n’sont que d’la peau, qu’on deplace et qu’on attache.
J’men tamponne qu’bigpharma fasse payer au contribuable mes hormones,
Qu’chui pas une vrai car chez moi y a pas d’voie basse, que chuis pas une vraie car j’essaye pas dcacher ma vois d’basse
J’men bas les couille de mettre en danger ma vie, que j’depasserais pas les 38,
qu’les medoc et la clope m’feront des arrets cardiaques, insomniaque ?
qu’mes habit aideront a m’faire tuer une nuit,
Je m’en cogne que ce soit ma transition qui crée trauma ou une hystérie collective ancrée, qui m’font croire que y’a des gens dans ma tête, mon trouble de l’identité existe c’est vrai
J’men moque si j’ai juste refusé d’être gonz, que j’ai juste infusé la honte de mes erreurs d’avoir été une merde,
que ma transition est un denis de mes horreur passé en temps que mec
La vérité c’est que j’men fiche de pourquoi c’est là,
de mon point de vue étroit un jour je me suis levé le jeu ma saoulé j’ai quitté la table de votre partie d’ses mort,
j’vous ai pas autant fait chié alors que vous aimez affable vous vanter d’pouvoir aimer que si la personne a une certaine
partie du corps
J’FAIS DE MAL A PERSONNE,
honte a vous d’avancer qu’chuis un danger pour les momes,
honte a vous de trouver le mot polyamour pas trop jolie,
j’ai une famille factuellement si saine et actuellement si belle qu’elle démonte vos arguments et votre ressentit,
dans le fond et la forme,
ton couple est disfonctionelle car ta communication est en sale atrophie,
mon romantisme te mettrait en apoplexie,
on surplomble en nombre et qualité c’que j’ai au
dessus cité
comme si c’etait une accropolis
J’donne l’ton et la donne
Respé a tout les parcours,
infini merci pour vos coming out et transitions,
ils suffit pas d’ce dire “pourquoi moi, suis je un vrai ?” “est-ce aquis, est-ce inné ?” mais plutot “faut il une raison”,
peut être qu’au final il fallait juste dire “je sors du jeu, je me met au on”
vous êtes autant legitime que moi si vous vous êtes reconnus c’est bon
j’men bas les reins, frappe legere r1 puis roulade arriere car ce monde me saoul,
maintenant allons faire tout pété parce que les copains la revolution a commencé hier, et jvous l’ai dit
l’heure tourne